Interview Kyo Leaf 09.13

Sur quoi a été basé le choix des photos affichées à l’exposition de Kyoto?

Kyo: Le sujet du photobook « Shikkaku » est moi même, pour l’exposition j’ai pris chaque photo qui montre un point de vue différent sur le monde le mieux possible. Comme elles ont été présentées dans un espace qui reflète ma ville natale Kyoto, j’ai pris des choses comme la lumière et même la musique de fond en considération et j’ai choisi 14 photos. En particulier pour la photo « Shikkaku » qui est devenue la photo de couverture, je l’aie placée près de l’entrée, à un endroit vraiment accrocheur, pour exprimer le point essentiel de cet endroit.

De plus, le titre est originaire de cette photo, non?

Kyo: Je suppose que c’était au dernier shooting. C’était la toute première photo prise. A l’instant où je l’aie vu, je me suis dit que ça ressemblait au visage d’une personne inhabile, donc à ce moment je l’aie vu tout de suite comme image de couverture, et j’ai décidé du titre « Shikkaku ». Chaque fois que les gens, y compris moi même, sont confrontés à de nouveaux défis, ils ont tendance a examiner ce qui vient après ce défi. Plus nous pensons à ça, plus nous nous sentons anxieux et impuissants. Par exemple, dans mon cas, il y a des moments où je doute de ma capacité à faire un photoshoot. Je pense que si je ne sais rien sur la façon de prendre des photos [correctement] ou sur la configuration d’un appareil photo, alors tout ça semblera déraisonnable. Mais aussi, je ne vais nul part si je n’acquière pas de nouvelles expériences. Quand j’ai pensé à ça, nous étions en tournée à l’étranger et j’ai juste pris un appareil photo et j’ai essayé de prendre des photos pour tuer le temps. Dès l’instant où j’ai réussi à capturer mon propre sentiment, mon propre cœur en une seule image, j’ai pensé que ce n’était pas si mal. Ce n’est pas que je suis très habile pour les études en général, je suis tout le contraire d’un homme que les gens appelleraient « brillant ». Mais même pour les gens comme moi, il est important de faire le premier pas dans quelque chose de nouveau, même quand quelqu’un nous dit le contraire, c’est bien tant que nous réalisons nos propres croyances et restons fidèle à nous même. Même du point de vue des gens « inhabiles », ils peuvent aller de l’avant en commençant quelque chose de nouveau. Donc le titre est « inhabilité » mais dans le sens d’une inhabilité positive.

C’est un mot qui a une signification.

Kyo: Les être humains voudraient cacher ces choses qui ne sont pas bonnes. Parce qu’ils pensent surement qu’il s’agit de choses inutiles et finissent par laisser tomber. Ces pourquoi, même ces personnes inutiles sont capables de faire le premier pas vers un défi. Et avec ça, de [nouvelles] opportunités se présenterons, et vous savez que vous pouvez les attendre avec impatience.

Les deux photobook ainsi que l’exposition ont quelques belles photos en noir et blanc.

Kyo: Nous avons utilisé une technique d’impression appelée Fresco Giclee. La technique de la fresque de la Renaissance a été relancée par une nouvelle technique dans l’impression et lui donne une couleur noire régulière lors de l’impression. En ce qui concerne les photographies, j’aime la base monochrome, donc cette fois c’était important pour moi de travailler en noir et blanc. J’ai aussi opté pour un type de papier qui peut afficher des couleurs vives. Les deux photobook se sont avérés tout à fait bien.

Y a t-il des plans pour des projets en solo?

Kyo: J’ai d’innombrables défis, des moyens de m’exprimer que je veux essayer. Même quand je parle à mon staff, nous en avons beaucoup discuté. Si je devais essayer d’achever tout ce que je voulais….eh bien, même un seul projet pourrait prendre des années (rire). Je ne peux rien dire concrètement encore, mais puisque qu’ils m’ont laissés commencer cette activité solo, je ne peux pas m’arrêter de m’exprimer en tant que « Kyo ». Mais je suis aussi « Kyo de Dir en grey » et ça marche tant que ça n’empiète pas sur les activités et les sorties du groupe.  

Interview Kyo GREED part4

Dans de nombreux cas les activités à l’étranger deviennent un tournant à la fois dans un bon et un mauvais sens. Ceci ne s’applique pas seulement à  DIR EN GREY et si l’on regarde de manière historique, il a eu beaucoup de groupes qui ont  traité avec la vie de tout les jours sur une tournée mondiale et il y a aussi des règles pratiques, ce qui a été confirmé par ces membres de groupes qui ont été à l’étranger. 
Kyo n’avait aucun intérêt dans ce qui est appelé la « promotion à l’étranger » [海外進出: l’avancée des exports japonais sur le marché étranger]. Bien sur, on ne peut le comprendre qu’après l’avoir expérimenté, mais en ce qui concerne cette question, il en parle seulement de manière négative. Pourtant, si l’on regarde de plus près, ce qui apparaît comme un problème peut en fait être quelque chose d’extrêmement important pour les artistes. Par ailleurs, on pourrait aussi dire que [DIR EN GREY], tandis qu’ils se démarquent les uns des autres, comme un groupe/comme le tout DIR EN GREY – qui aurait pu aussi être vu comme une limitation constante -, veulent montrer des sentiments purs.

I: Pour commencer, pourquoi n’aimez vous pas aller à l’étranger ?

K: Je ne suis pas du tout intéressé par les cultures étrangères, de telles choses. Je n’ai pas vraiment d’intérêt pour leur histoire et les caractères des peuples. Il y a des groupes que j’aime bien, mais je ne ressens pas un fort besoin de les rencontrer, ou en fait de faire un travail en collaboration avec eux, vous voyez. Même des choses comme la façon normale de manger là bas ne s’accorde pas avec moi, le caractère des gens non plus. C’est mauvais de le dire si [crûment], puisqu’il y a en fait aussi beaucoup de gentilles personnes. N’est ce pas les Japonais qui tiennent leur langue ? Pourtant il semble qu’il y ait beaucoup de gens [à l’étranger] qui pensent qu’ils sont le centre de l’univers, genre “Je suis le meilleur”. Je ne supporte pas de telles personnes. Mais je suis le seul du groupe à dire qu’il n’aime pas aller à l’étranger, vous voyez. Tout les autres ont l’air d’avoir chacun quelque chose qui les attire. Quand nous avons eu l’opportunité de jouer à l’étranger, nous avons discuté [la question], mais [finalement] j’ai perdu face à l’enthousiasme des autres membres et l’agent étranger… C’était comme “Si vous insistez, je vais (endurer ça un peu plus longtemps et aller à l’étranger)”, vous savez. Je comprend que c’est un plus pour DIR EN GREY si nous faisons cette tournée avec ce groupe. C’est un conflit  en moi. Il serait facile de dire “No !” [en anglais dans le texte]. On me demande souvent si cela m’a apporté quelque chose d’aller à l’étranger, mais pour moi il n’y a rien. Il doit tout de même y avoir quelque chose, quelque part… Cependant, c’était seulement fatiguant. 
À l’étranger nous avons souvent de nombreux shows en une semaine, mais concernant la structure de la gorge, les Japonais et les étrangers sont différent. Les cordes vocales des étrangers sont plus grosses [?]. Même si un petit quelque chose arrive, cela ne les concerne pas. Pour dire les choses crûment, c’est un désavantage pour moi/nous si nous tournons avec eux. Mais je ne veux pas me plaindre de ça puisqu’à la fin, faire un grand nombre [de shows] est en fait un fardeau tout aussi lourd sur ma gorge. Il est entendu que je dois aussi faire attention à ma gorge. Donc il y a seulement des choses que je n’ai pas aimé, vous voyez. 

I: Vous êtes en conflit avec vous même mais en tant que membre du groupe  vous ressentez aussi des responsabilités. II semble que vous soyez coincé entre deux issues.

K: Bien, si c’était le cas que je veuille aller en Amérique, que je veuille avoir du succès là bas, je ne le dirais pas. Je pense qu’on ne peux rien y faire de toute façons. Puisqu’il n’y rien de particulier que je veux faire [à l’étranger], il y a des moments où je me demande soudainement : “Qu’est ce que c’est qu’ici ?” [« Qu’est ce que je fais ici ? »]

I: Vous voulez dire comme “Qu’est ce que je suis en train de faire ?” 

K: Oui. C’est pourquoi ce n’était pas marrant du tout. J’étais aussi perdu dans des pensées vaines pendant de nombreuses heures. C’est l’enfer… je ne voulais pas aller faire des achats et je ne suis quasiment jamais sorti. Pendant la tournée d’avant (fin 2011) je n’ai quitté le tour bus en privé [tout seul] qu’environ deux fois, mis à part pour les lives. J’étais tout le temps couché sur le lit, à regarder le plafond (rire). Comme c’était trop douloureux, j’ai acheté un appareil photo dans l’espoir que celui ci me distrairait, je l’ai pris avec moi… Vous voyez, de nombreuses choses ont éclatées de manières inattendue à ce moment, donc finalement je pense que c’était une bonne chose que j’aille à l’étranger. Cela m’a pris du temps, vraiment beaucoup de temps. 

I: Je comprend votre point de vue et le fait que vous ayez vécu les performances à l’étranger de manière plus négative que positive, mais [à travers cela] vos performances au Japon sont aussi devenu plus énergique, pas vrai ?

K: C’est pourquoi je pense que ça serait bien que les gens viennent au Japon si ils veulent nous voir, vous savez. Quand nous avons décidé de faire des concerts à l’étranger, nous nous sommes demandé comment ça sera et donc nous avons essayé. Mais si l’on va [à l’étranger] encore et encore, ne réalise t’on de nombreuses [nouvelles] choses ? Nous avons aussi fait des apparitions dans de grands festivals et bien que c’était sympa, je me suis demandé pourquoi je faisais ça [dans quel but]. Je pense, qu’ensuite j’ai ressenti quelque chose, mais c’est un sentiment que j’ai rapidement oublié, encore. Il n’y a presque rien qui est gravé profondément dans ma mémoire, vous savez. 

I: Y a t’il un live au Japon qui a laissé une forte impression sur vous ?

K: Eh bien… Le live où j’ai endommagé mon oreille, les lives qui se sont passés dans de petits live houses; en fait ces lives sont restés dans ma mémoire comme ceux auxquels certains troubles ont eu lieu. Un live que je pense bon était le dernier live d’UROBOROS, au Budôkan, il me semble. 

 
I: En parlant de problèmes, j’ai l’impression que vous en avez eu beaucoup à l’étranger.

K: C’est surtout de petits ennuis. C’est normal.

I: Y a t’il eu des situations où vous avez été embarrassé  ?

K: Jour après jour il y avait des confusions. Il y avait simplement des moments où je pensais « Je n’y crois pas ». J’étais si choqué que ça m’a fait rire. À un moment pendant la tournée, moi et Toshiya sommes allés à l’hôtel pour prendre une douche et pendant que nous attendions la voiture qui venait nous chercher, un étranger est rentré dans notre chambre, en disant quelque chose comme « C’est ma chambre ». Finalement c’était une erreur de l’hôtel, mais on n’imagine pas que quelque chose comme ça peut arriver, pas vrai ? Ce type était bourré et bien qu’il soit parti, en disant quelque chose comme « Je suis désolé », qu’aurais-je fais si j’avais été seul dans la chambre, sans téléphone portable, et ce type très costaud aurait voulu me frapper puisqu’il était bourré ? (rire). Vous voyez, seulement des événements comme ça laisse de fortes impressions sur moi. Les lives en eux mêmes étaient bons, mais ils ne se sont pas gravés dans ma mémoire du tout. 

I: Mais si c’est comme vous le dites, vous n’avez pas pu mettre votre esprit au repos.

K: Non, je ne pouvais honnêtement pas. Je dois aussi garder mon corps en bonne forme et donc je quitte difficilement l’hôtel, même lors de tournée japonaise. Bien que ma façon d’agir pendant les tournées ne change pas à l’étranger, en réalité tourner au Japon est mieux. L’eau chaude sort bien de la douche, la sécurité publique est aussi bonne et la nourriture est délicieuse. Et vous savez, le staff à l’étranger est impossible/ ridicule. Bien que nous avons demandé “S’il vous plaît augmentez le volume des guitares”, le [volume] de la basse augmentait. Soudainement il [l’ingénieur du son] criait « Je ne sais pas ! », levait ses bras en l’air – juste comme vous pouvez souvent le voir dans les films – et sortait, en prenant son hamburger avec lui. C’est arrivé pendant les répétitions (sourire désabusé). 

Merci beaucoup à Grey!

Documentary DVD & Blu-ray 『TOUR12-13 IN SITU-TABULA RASA』

Voilà le contenu de l’édition limitée.

DISC 1: Documentary Footage
DISC 2: LIVE Footage

TOUR2012 IN SITU
12.25 TOKYO INTERNATIONAL FORUM HALL A

Kyoukotsu No Nari
DIABOLOS
LOTUS
RYOUJOKU NO AME
REIKETSU NARISEBA
VANITAS
Hageshisa To, Kono Mune No Naka De Karamitsuita Shakunetsu No Yami

TOUR2013 IN SITU -The Depiction of Reality-
2.01 SHINKIBA STUDIO COAST -「a knot」&ONLINE only-
DOZING GREEN

LIE BURIED WITH A VENGEANCE
THE IIID EMPIRE
C
Machiavellism

TOUR2013 TABULA RASA
5.16 SHINKIBA STUDIO COAST
Kyoukotsu No Nari

KARMA
DIFFERENT SENSE
Unknown.Despair.Lost
RINKAKU
Bottom of the death valley
INWARD SCREAM
KASUMI
Unraveling
THE FINAL

MINI ALBUM『THE UNRAVELING』[Limited Order-Only Deluxe Version] Special LIVE
TOUR2013 TABULA RASA -揚羽ノ羽ノ夢ハ蛹-
5.24 Shibuya Public Hall
KARASU

DOWNLOAD
6.14 Donington Park -Derby / UK-
OBSCURE

BONUS FOOTAGE/DVD [Initial Limited Version] (DISC 3)
DISC 3: LIVE Footage

TOUR2012 IN SITU
12.25 TOKYO INTERNATIONAL FORUM HALL A
Deity

TOUR2013 IN SITU -The Depiction of Reality-
2.01 SHINKIBA STUDIO COAST -「a knot」&ONLINE only-
SHOKUBENI

NAMAMEKASHIKI ANSOKU, TAMERAI NI HOHOEMI
CLEVER SLEAZOID

TOUR2013 TABULA RASA
5.16 SHINKIBA STUDIO COAST
Tsumi To Batsu

CONCEIVED SORROW
Kiri To Mayu

Interview Toshiya Paris 13.06

Nana : Bonjour à vous. Ma première question est la suivante: On ne vous présente plus, le groupe a fêté cette année ses seize ans d’existence. Vous avez tous beaucoup évolués, aussi bien visuellement que musicalement. Quel bilan en dressez-vous ? Et si vous deviez n’en retenir qu’une seule chose, laquelle choisiriez-vous et pourquoi ?

Toshiya : Durant ces seize années, ce qui est le plus fort, c’est que nous avons toujours été tous ensemble, tous les cinq, guidés par cette même idée de réussir à faire ce qui sera le mieux ! Que cela soit musicalement ou visuellement ! Donc ce n’est pas une seule chose en particulier durant ces seize années qui me reviendrait à l’esprit, mais l’ensemble des chose et surtout cette optique qu’on a toujours ensemble, à cinq ! De toujours trouver ce qui nous représente le mieux, tous les cinq, et qui fait l’essence même du groupe, et de ce qu’on a envie de transmettre.

N: Qu’envisagez-vous pour la suite ? Où vous voyez-vous dans dix ans par exemple ?

T: Hm… Nous avons tous les cinq un mode de pensée différent, certains arrivant à se projeter sur le long terme et d’autres non. Mais en tant que groupe, qu’unité, nous vivons l’instant présent !

N: Vous venez de sortir un mini-album, THE UNRAVELING, sur lequel vous avez repris d’ancien morceaux, pour les retravailler. Pourquoi ce choix ? Est-ce que c’est un projet que vous aviez depuis longtemps ?

T: ça fait deux ans qu’on parle de faire un album comme ça, mais c’est au fur et à mesure de la concrétisation de celui-ci que nous avons choisi les morceaux ! C’est venu au feeling !

N: Il n’y a qu’un seul titre inédit dans ce mini-album, comment avez-vous travaillé dessus ? Possède-t-il un message en particulier ?

T: Il n’y a pas de message particulier, on a fait ce morceaux pour montrer qu’on était toujours là, qu’on était toujours capable de faire de nouveaux sons, même si on reprenait d’anciennes chansons, mais en toute honnêteté il n’y a pas de message (rires).

N: Je crois savoir que vous avez procédé à l’enregistrement de cet album durant la seconde moitié de 2012, ce qui tombe durant votre période de « pause » due aux problèmes de santé de Kyo. Cela a du être compliqué de gérer votre travail en même temps que lui ménageait sa santé ?

T: Nous avons attendu qu’il aille bien pour enregistrer. Nous nous sommes organisés de façon à ce que cela ne perturbe pas son rétablissement !

N: Les fans se sont beaucoup inquiétés à ce sujet, Kyo a d’ailleurs encore été hospitalisé récemment. Est-ce que, malgré cela, on peut dire aujourd’hui qu’il est sur la voie de la guérison ?

T: En soit, il ne va pas forcement beaucoup mieux. Après, il n’y a pas que lui. Nous avons tous à un moment ou à un autre des problèmes, qui font que nous ne sommes pas forcément en forme. Mais nous avons toujours cette volonté de continuer notre musique. Et quelles que soient les maladies ou les choses qui nous tombent dessus, nous faisons en sorte de ne pas y penser. Mais ça ne touche pas que Kyo.

N: On vous considère un peu comme des bourreaux de travail! J’imagine donc que vous travaillez déjà sur votre prochaine sortie ? Vous pouvez m’en parler un peu ou bien c’est top secret ?

T: Pas de plan (rires)

N: Vous faites partie des groupes qui viennent très régulièrement en France. Qu’est ce qui vous plaît quand vous venez jouer ici ? Est ce que vous avez des anecdotes ou des souvenirs plus marquants que d’autres sur une de vos venues ?

T: J’ai des souvenirs à ne plus savoir qu’en faire ! Une fois on a pris le métro tous ensemble juste pour le délire ! J’ai beaucoup visité le Louvre et ses alentours, parce qu’on y trouve de nombreux restaurants de Ramens et tout ça permet d’avoir un peu de chez moi en France ! J’ai beaucoup de souvenirs de ballades et de beuveries ! On a fait tellement de concerts ici que je serais incapable de choisir un seul souvenir !

N: Si vous deviez choisir une seule chanson, parmi tout votre répertoire, pour faire découvrir Dir en Grey à quelqu’un qui ne vous connaît pas du tout, laquelle choisiriez-vous et pourquoi ?

T: Oh (rires) Mmmh… Toi tu choisirais laquelle ? (rires)

N: Mmmh… Bottom of death valley.

T: oooh (sourit) j’hésite entre Vinushka et Macabre !

N: Auriez-vous un petit message pour les fans qui vont lire l’interview ?

T: Personnellement, à force de venir en France et d’être en contact avec les français, j’ai, entre autre, énormément ressenti le fait que cela soit le pays de la révolution. Pour moi la France est un pays dramatiquement fort, beaucoup de choses s’y sont passées. Et si j’ai un message à faire passer, c’est que j’ai un profond respect pour ce pays !

 

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